Que grâce soit rendue aux chaînes de télévision satellitaires qui nous permettent de suivre en temps réel les grands évènements de notre temps au lieu d’en entendre parler après qu’ils eurent perdu leur charge émotionnelle, symbolique et esthétique par la tradition orale, les magazines ou les livres d’histoire.
Ce qu’il nous a été donné de voir en France était inédit, inspirateur, instructif, poignant jusqu’à la pâmoison. C’était plus colossal que tout autre évènement connu par ce pays depuis la Libération : une nation multiraciale et multiconfessionnelle en fusion entourée de la sollicitude de 144 pays, la planète contractée en un Hexagone, l’humanité ramenée aux dimensions d’un peuple résolu à protéger ses valeurs citoyennes, démocratiques et républicaines contre l’extrémisme à n’importe quel prix, du plus bas au plus élevé. Seul le Front National a été écarté de ce nouveau contrat social français.
C’était aussi un miroir qui nous renvoyait l’image de ce que nous ne sommes pas, nous algériens, de ce que nous ne sommes pas près de devenir a en juger d’après notre réalité, d’après la direction dans laquelle nous mènent notre esprit de douar, nos idées mortes, nos élites stériles et notre état errant, d’après la courbe tortueuse de notre histoire.
Ce que nous avons vu était cruellement frustrant, douloureux même, car toujours nous avons été les spectateurs de la grandeur des autres, jamais les concepteurs et les acteurs de la nôtre.
Ce spectacle-là, nous ne le connaitrons pas de sitôt car rien en nous dans la situation actuelle, rien dans nos cerveaux et notre manière de penser, rien dans notre culture et nos habitudes de vie, rien dans nos relations entre nous et dans nos comportements quotidiens ne nous y prédispose, ne nous y prépare.
A moins que, à moins de…
mais, en attendant, nous sommes bel et bien une communauté mal rassemblée, incertaine de son vouloir vivre-ensemble, collée avec de la salive, mal fagotée, partagée entre trois langues charriant des mentalités inconciliables, politiquement atomisée et dont une partie pousse fanatiquement vers l’arrière, quand l’autre n’a plus assez de souffle pour pousser vers l’avant, dont la majorité des membres est faite de resquilleurs dans l’âme, de rentiers impénitents du sous-sol (hydrocarbures) et du ciel (religion).
Nous nous tenons le ventre de peur lors des brefs moments de lucidité que provoquent en nous des évènements du format de ceux dont il est question. Dans ces instants-là, notre esprit s’entrebâille pour saisir furtivement quelque chose de notre réalité insignifiante dans le concert des nations qui avancent, tandis que nous reculons à grandes enjambées.
Notre seul espoir alors, notre plus haute prière est que nous ne tombions pas plus bas que nous sommes, que nous ne connaissions pas le jour où notre pays serait dépecé, que nous ne sombrions pas à moyen ou long terme dans une guerre civile aux plus grandes proportions que celle qui s’est inexplicablement installée à Ghardaïa ou celle à laquelle travaillent des agitateurs en Kabylie.
NOUS NE SAVONS ETRE, NOUS N’AVONS JAMAIS ETE, DANS LA LONGUE HISTOIRE DE L’ESPECE HUMAINE, QUE DES COUPABLES OU DES VICTIMES.
Notre part dans le spectacle grandiose donné avant-hier par la France, car nous en avons une, est précisément celle de deux coupables animés par des idées mortelles et de deux victimes collatérales ; deux Franco-Algériens parmi les terroristes abattant deux Franco-Algériens s’étant trouvés par hasard sur le théâtre des opérations.
ON MEURT ICI OU AILLEURS PAR HASARD, ON EST EN VIE PAR HASARD, ON TROUVE DU GAZ DE SCHISTE PAR HASARD, ON EST GOUVERNES AU PETIT BONHEUR LA CHANCE… COMMENT NE PAS ETRE CONDAMNE A LA DISPERSION, A LA DISLOCATION, A LA SEPARATION, A LA DISPARITION ?
Il y avait aussi à Paris ce représentant du gouvernement algérien qui n’a jamais témoigné sa compassion aux familles des deux cent mille victimes du terrorisme issu du génie de nos « da’iyas », ni aux victimes des affrontements incessants de Ghardaïa, autrement qu’en indemnisant les « ayants-droits » des uns et des autres avec l’argent du pétrole, un argent trouvé par terre, par hasard, non gagné à la sueur du front d’un Etat absent et tenant par on ne sait quel hasard.
A qui, à quoi doivent les Français l’apothéose humaniste, la sublimation de la valeur de la vie humaine, le triomphe des valeurs citoyennes, démocratiques et républicaines qu’ils ont offert à la planète eux qui, il y a trois ans, ont failli faire pareil lorsque leur gouvernement envisageait d’exploiter les gisements de gaz de schiste découverts pour remettre à flot les comptes de la nation ?
A une trouvaille de génie de François Hollande au plus bas des sondages pour opérer une remontée ? A quelque action extraordinaire du gouvernement pour élever le rang de la France dans la hiérarchie des puissances mondiale ? A un coup médiatique sans égal ?
Ces succès, le gouvernement français les a bel et bien engrangés mais sans l’avoir voulu, sans coup férir, par la grâce de l’effet papillon. C’était tout simplement la conséquence lointaine de la conversion en prison à l’islamisme bête et méchant de deux « Beurs » d’origine algérienne.
Ces frères qui pensaient de bonne foi venger le Prophète – puisqu’ils ont donné leur vie pour cela – savaient-ils quelles souffrances physiques et morales, combien de brimades et d’agressions le Prophète a endurées de la part de ses frères arabo-païens de la Mecque et de Taïf, ou lors des multiples guerres qu’ils lui ont livrées sans qu’il ne se vengeât d’aucun d’entre eux à l’heure du triomphe ?
IL LEUR AURAIT SANS DOUTE PREFERE LES CARICATURES OUTRANCIERES D’UN JOURNAL SANS LECTORAT POUR AMELIORER SES VENTES SOUS COUVERT DE LIBERTE D’EXPRESSION.
Se doutaient-ils que le monde entier viendrait se recueillir à la mémoire de ceux qu’ils ont assassinés de sang-froid ? Qu’une nouvelle ère nuisible aux intérêts de leurs coreligionnaires allait s’ouvrir par suite de leur acte ? qu’ils ont éloigné comme rarement auparavant l’humanité de l’islam ?
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu, réagissant à l’attentat qui a fait quatre victimes juives dans un centre commercial casher a voulu rappeler aux 700.000 juifs de France que leur foyer naturel était en Israël, entraînant immédiatement une riposte de la part de son homologue français en ces termes : « La France sans les juifs n’est plus la France !»
QUEL CHEF D’ETAT D’UN PAYS MUSULMAN COMPTANT EN FRANCE UNE POPULEUSE COMMUNAUTE S’ENGAGERAIT DANS UNE TELLE OFFRE ? ET S’IL S’EN ETAIT TROUVE, QUELLE REPONSE AURAIT-IL REÇUE ? LA FRANCE N’AURAIT-ELLE PAS ETE TOUT HEUREUSE DE LUI REPONDRE OU DE PENSER IN PETTO : « BON DEBARRAS ! » ?
POURQUOI ? PARCE QUE LES HOMMES N’ONT PAS LA MEME VALEUR SUR LE MARCHE DE LA VIE HUMAINE.
LA COTATION DE CHACUN DIFFERE EN FONCTION DE SON COMPORTEMENT ET DE SON RENDEMENT DANS L’HISTOIRE, DE SON UTILITE A LA SOCIETE, A L’HUMANITE, A LA SCIENCE, AU PROGRES TECHNOLOGIQUE ; EN FONCTION DES VALEURS AUXQUELLES IL CROIT ET DES INCIDENCES DE CES CROYANCES SUR LES AUTRES, SUR LE GENRE HUMAIN ET LA CIVILISATION.
Il y a un marché de la vie humaine comme il y a un marché de l’or, du pétrole, de la monnaie et des titres financiers. Certaines vies humaines valent de l’or et se paient au prix fort, tandis que d’autres ne valent même pas aux yeux de ceux qui les prennent le prix de la lame qui les décapite ou de la balle qui les abat.
CEUX-LA SONT LE PLUS SOUVENT DES HUMANOÏDES SE RECLAMANT POUR NOTRE MALHEUR DE L’ISLAM.
Il y a des vies qui s’achètent moyennant devises fortes (Européens rançonnés par les terroristes) et d’autres qui ne rapportent rien (Arabes et Musulmans accidentellement pris en otage).
SACHANT LA NULLITE DE LA VALEUR DE LEUR VIE AUX YEUX DE LEURS DIRIGEANTS, LES PRENEURS D’OTAGES NE LES MONNAYENT MEME PAS.
La rareté faisant la valeur, la vie la plus chère sur le marché de la vie humaine est incontestablement celle du Juif. Il y a moins de Juifs sur la planète que d’Algériens. C’est la civilisation la moins pléthorique de l’Histoire, mais elle est aussi celle qui a fait le plus d’apports à la science, qui détient la part la plus importante du capital financier mondial, qui possède le plus de supports médiatiques en tous genres, qui exerce le plus d’influence sur la marche du monde…
ILS N’ONT PAS USURPE LE TITRE DE « PEUPLE ELU », ILS L’ONT IMPOSE.
L’Ancien Testament nous renseigne avec force chiffres sur les périodes baissières et haussières de la vie juive dans l’Antiquité : elle ne valait rien sous les dynasties égyptiennes d’avant l’Exode, mais s’élevait à un multiple de fois celle des autres à l’époque de Josué, David, Esther et d’autres. L’histoire relèvera les mêmes fluctuations erratiques par la suite : baisse durable au Moyen-âge chrétien jusqu’à la Révolution française, hauts et bas du fait des fréquents pogroms en Europe jusqu’à la première guerre mondiale, effondrement effroyable sous le nazisme, et enfin hausse à des niveaux jamais atteints depuis la création de l’Etat d’Israël.
Une vie juive se payait aux dernières séances de cotation contre cent vies palestiniennes et parfois plus. Le sergent Gilad Shalit a été libéré par Hamas en contrepartie de la libération de plus d’un millier de prisonniers palestiniens.
Puis vient, dans l’ordre décroissant de la cotation boursière de la valeur de la vie humaine, celle de l’homme occidental (Europe, Amérique du Nord, Australie, Nouvelle Zélande). Il n’est pas nécessaire de remonter aux deux guerres mondiales pour prendre la mesure de la capacité de l’Occident à se solidariser des siens quand il le faut au prix de centaines de milliers de vies humaines sacrifiées et de centaines de milliards de dollars dépensés. Souvenez-vous du D Day.
Les conséquences du 11 septembre 2001 sont connues et continuent de défrayer la chronique, tandis que celles des 17 victimes françaises se révéleront bientôt. On parle déjà d’un «Patriot Act» français et d’une conférence internationale devant se tenir le 17 février prochain à Washington sous la présidence de Barack Obama pour coordonner «la lutte contre l’extrémisme» au cours de laquelle sera probablement arrêtée une stratégie allant dans le sens de ce que je redoutais dans «Le réveil des vieux démons» : QU’ON AILLE CHERCHER DANS LES RANGS TOUFFUS DE L’ISLAM TOUT CE QUI PEUT ETRE CONSIDERE COMME FAVORISANT L’EXTREMISME, L’ISLAMISME RADICAL ET SON PENDANT TERRORISTE.
Le vieux démon qui va se réveiller dans l’antre américain sera en l’occurrence infiniment plus redoutable que celui, artisanal et atomistique, de l’aventurisme islamiste. En tout cas, la facture finale sera présentée aux Musulmans qui, de leur côté, peuvent s’estimer non concernés, innocents ou même victimes, ce en quoi ils ont tort.
Ils sont responsables jusqu’au cou, du moins leurs États. Ils sont complices par leur acquiescement au discours islamiste et sa propagation inconsciente, par leur complaisance envers l’idéologie islamiste qui fournit en motivations la minorité infinitésimale qui passe à l’action.
La valeur de la vie arabo-musulmane, elle, est passée d’un faible niveau au début de la Révélation à un niveau appréciable sous le Prophète, Abou Bakr, Omar et jusqu’à Uthman. Elle a chuté pendant les guerres du Chameau et de Siffin, connût une certaine stabilité durant les règnes omeyyade, abbasside, andalou et ottoman, puis ne valût plus rien pendant les siècles de la décadence jusqu’à la découverte du pétrole au XXe siècle où elle fît un moment illusion.
Avec la mondialisation de l’islamisme, elle s’est de nouveau dépréciée allant en se dégradant jusqu’à ce que la vie arabo-musulmane ne vaille plus rien puisqu’il ne passe pas un jour sans qu’il ne meure au moins deux cents personnes en moyenne entre l’Afghanistan, le Pakistan, la Syrie, l’Irak, le Yémen et la Libye, sans oublier bien sûr notre quota d’attentats contre les forces de l’ordre.
Si on veut encore un exemple, je peux rappeler que les pertes humaines du colonialisme français en Afrique du Nord entre 1950 à 1962 ont été de 36.000, contre 1.500.000 pour notre seul pays.
LA VALEUR DE LA VIE HUMAINE NE SE MESURE PAS POUR LES ALGERIENS A L’AUNE DES VALEURS TERRESTRES MAIS CELESTES. ELLE NE S’ESTIME PAS AU DEGRE D’ATTACHEMENT AUX VALEURS CITOYENNES, DEMOCRATIQUES ET REPUBLICAINES, A L’INTERET COLLECTIF ET AU BIEN GENERAL, MAIS A LA TEMPERATURE EXTERIEURE DE LA FOI INDIVIDUELLE.
ELLE EST EVALUEE EN SIGNES OSTENTATOIRES DE RELIGIOSITE ET DE CRAINTE FEINTE DE DIEU. ELLE L’EST AUSSI, DE MANIERE PLUS GENERALE, EN CAPACITE DE NUISANCE PERSONNELLE, EN RUSES AVEC L’ETAT ET SON PROCHAIN, EN VOLUME DE DECIBELS, EN AFFIRMATION « ENERGUMENTALE » (EXCUSEZ LE BARBARISME, MAIS ON SE COMPREND MIEUX AVEC) DE LA VIRILITE.
ELLE NE SE PESE PAS EN MERITES, EN RENDEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL, EN POSITION AVANTAGEUSE DANS LES CLASSEMENTS INTERNATIONAUX, MAIS EN DUREE POUR VENIR AU MONDE (LES NEUF MOIS DE LA GESTATION), EN EGALITARISME FORCENE ET EN POPULISME NIHILISTE.
NOUS N’AVONS PAS VU APPARAITRE DANS LES PAYS MUSULMANS, en dehors de l’expérience toute fraîche de la Tunisie, DE PHENOMENES DE SOLIDARITE MASSIVE, D’ENGAGEMENT MILITANT ET DE DISPONIBILITE A DONNER SA VIE POUR DEFENDRE LA CONSTITUTION, LE REGIME DEMOCRATIQUE OU LES LIBERTES PUBLIQUES.
CES NOTIONS N’ONT AUCUNE RESONANCE DANS LE PSYCHISME DES MUSULMANS QUI PARLENT PLUS QUE LES AUTRES DE FRATERNITE, DE SACRALITE DE LA VIE, DE LIBERTE, DE MISERICORDE, DE TOLERANCE, MAIS CES MOTS NE SONT QUE DES ARGUMENTS DE DISCUSSION DANS LEUR BOUCHE CAR C’EST LE CONTRAIRE QUI A REELLEMENT COURS DANS LEUR REALITE.
ILS CITENT FORCE VERSETS A LONGUEUR DE JOURNEE, MAIS N’EN APPLIQUENT PAS UN SEUL ALLANT DANS CE SENS. ILS SONT PROMPTS PAR CONTRE A EMETTRE DES FATWAS DE TAKFIR (APOSTASIE) ET DE MEURTRE.
LES MUSULMANS DE FRANCE, D’EUROPE ET D’AMERIQUE COMMENCENT, BON GRE MAL GRE, A INTEGRER A LEUR SYSTEME DE VALEURS, A L’ORIGINE EXCLUSIVEMENT RELIGIEUX, LES VALEURS MODERNES DE PRAGMATISME, DE DROITS ET DE DEVOIRS CIVIQUES, DE RESPECT DES NORMES SOCIALES ET DES REGLES JURIDIQUES.
QU’EST-CE QUI, FINALEMENT, DONNE OU ENLEVE SA VALEUR A LA VIE HUMAINE : LES IDEAUX HUMAINS DE LIBERTE, DE DROITS DE L’HOMME ET DE DEMOCRATIE, OU LES DIRECTIVES RELIGIEUSES ET TOTALITAIRES ?
LA VERITE EST QUE LES CONVICTIONS RELIGIEUSES ET IDEOLOGIQUES ONT CAUSE, D’ADAM AU CALIFE DE DAESH, PLUS DE MORTS QUE N’ONT CAUSES LES INTERETS MATERIELS ET L’INSTINCT POSSESSIF DE L’HOMME.
TOUT AU LONG DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITE (STATISTIQUES A L’APPUI AU BESOIN), LES HOMMES ONT TUE UN PLUS GRAND NOMBRE DE LEURS CONGENERES POUR DES RAISONS RELIGIEUSES OU IDEOLOGIQUES QUE POUR L’ACCAPAREMENT DE TERRITOIRES OU DE RICHESSES.
ET EN Y REGARDANT DE PRES, ON S’APERÇOIT QUE LES CONFLITS SCHISMATIQUES A L’INTERIEUR D’UNE MEME RELIGION (REFORME AU SEIN DU CHRISTIANISME, SUNNITES CONTRE CHIITES DEPUIS LA BATAILLE DE SIFFIN AUX AFFRONTEMENTS ACTUELS EN SYRIE, AU YEMEN, AU PAKISTAN, A BAHREÏN, AU LIBAN, ETC, EN PASSANT PAR LA GUERRE IRANO-IRAKIENNE) ONT ETE PLUS MEURTRIERS QUE LES GUERRES ENTRE RELIGIONS DIFFERENTES (CROYANTS CONTRE PAÏENS, JUDAÏSME CONTRE CHRISTIANISME, ISLAM CONTRE JUDAÏSME OU ISLAM CONTRE CHRISTIANISME).
ON APPREND AUSSI QUE LES IDEOLOGIES TOTALITAIRES ONT TUE PLUS DE NATIONAUX (SOUS STALINE, MAO, POL POT AU CAMBODGE, MENGISTU EN ETHIOPIE, COREE DU NORD SOUS KIM IL SUNG ET SA DYNASTIE) QUE D’ENNEMIS EXTERIEURS.
ET, ENFIN, QUE LES GUERRES IDEOLOGIQUES (NAZISME, COMMUNISME, ISLAMISME) ONT FAIT PLUS DE VICTIMES QUE LES GUERRES DE RELIGION, LES CONQUETES COLONIALES ET LES LUTTES DE LIBERATION ADDITIONNEES.
« Le Soir d’Algérie » du 13 janvier 2015